Si vous utilisez des ordinateurs, du mobilier de bureau, des machines, des voitures ou même des biens immobiliers dans vos activités quotidiennes, ils s’usent. Vous devez enregistrer la réduction de valeur correspondante en tant qu’amortissement dans votre comptabilité. Ces amortissements dits d’usure sont requis à deux égards : d’abord en vertu du droit commercial dans le Code de commerce, et ensuite en vertu du droit fiscal dans la loi relative à l’impôt sur le revenu.
L’amortissement selon le droit commercial consiste à représenter correctement les actifs d’une société, par exemple dans son bilan. D’autre part, la loi concernant l’impôt sur le revenu offre la possibilité de déduire de l’impôt les amortissements en tant que frais professionnels. Il n’est pas toujours nécessaire de relier ces deux processus : par exemple, la loi de l’impôt sur le revenu prévoit ce qu’on appelle le montant de la déduction pour investissement pour promouvoir les petites et moyennes entreprises (voir ci-dessous).